Dans cette section, l'ancien modèle sociétale s'est dissolu de façon brutale. Beaucoup ont pu oublier leur ancienne vie, l'occulter pour survivre.. Une partie de la population présente des troubles psychiques résultant de leur conditions de vie misérable. La reconstruction (post montée) fut rude, car le confort et la vision politique différa de la majeur parti de la vie des passagers. (Passant d'une vie de monsieur "tout le monde") à celle de prisonniers esclave.. Ici, Wilford est perçu comme un décisionnaire, un opportuniste pour d'autre, allant jusqu'à certains adeptes de sa vision du monde. La population ressent bien mieux que l'avant les effets de sa politique inégalitaire ! (Surtout parce qu'ils y sont tout les jours confrontés) mais de façon plus rigide que l'avant. L'arrière n'à pas le luxe du choix et doit se contenter de vivre sous la dépendance des décisions de l'avant. On retrouvera aussi la notion de place "naturelle" que chacun doit respecter et accepter sous peine de sanctions terribles ; comme la perte d'un bras ou d'une jambe à l'exposition de l'air glaciale.

La valeur d'un passager de la queue est matérielle, à l'image d'un objet, ou d'un outil. L'ordre naturelle restant établit par la naissance et le "hasard" lors de la montée. Il est assez rare qu'un passagers de l'arrière est le privilège de gagner l'avant pour autre chose que le travail. En général, cela sera lors d'une rafle, en vue d'exécuter un travail particulier (comme les esclaves sexuelle pour les jeunes filles ou l'entretiens de la locomotive pour les enfants). La population féminine de l'arrière étant peu nombreuse, la milice ne remonte que rarement des travailleurs femme. Il est néanmoins arrivé qu'un d'entre eux soit engagé pour un talent particulier, (comme le fait de savoir jouer d'un instrument ou autre..) Néanmoins, ces occasions restent rares !! pour ne pas dire exceptionnelles. Ici, les restrictions de libertés, les conditionnements et la maltraitance sont un lot de tout les jours ! Certains passagers deviennent fou ou suffisamment inconscient pour ce laisser endoctriner par la propagande. Dans un second temps, beaucoup d'entre eux ne sont pas effarouchés par les discours visant à glorifier l'image du concepteur. Une résistance par la pensée qui engrangea la création d'un système décisionnaire indépendant, menez par les figures de la plèbe.. 

Contrairement à l'avant, la population de l'arrière à constitué ses propres meneurs. Ces personnes luttent activement contre Wilford et sa milice de contrôle. (Comparables à des résistants ou à des protecteurs pour les plus faibles). Il s'agit en majorité d'hommes ou d'adolescents en bonne santé. Quotidiennement au premier plan des confrontations et conseillés par Gilliam (figure tutélaire de l'arrière depuis la première traversée) pour repousser les rafles et organiser des attaques. Gilliam étant le premier passagers à s'être opposer à la politique de l'avant après la montée, le groupe de résistance porte son nom "le cercle de Gilliam". On peut y trouver quelques femmes, peu nombreuses du fait de leur démographie, mais tout aussi importantes !

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Ici, le culte de Wilford est entretenu par la force. Sa réputation est parallèle à l'image de Noé et de son arche dans la bible chrétienne. Le maître du train est présenté comme le sauveur et sa machine divinisée comme une oeuvre sacrée. L'arrière n'échappe pas à la règle et subit cette propagande de plein fouet. Comme l'avant, l'arrière fête le jour de la montée en glorifiant le concepteur.. L'événement est encadré par la milice et bien entendu obligatoire. Les passagers récites des tirades poétiques et chantent dans le wagon place. Cette célébration est généralement contrainte et ne dégage aucune émotions pour les passagers.

Le cercle dérobe régulièrement de nombreux outils (haches, marteaux, pelles ect...) servant d'ordinaire à l'entretiens de la locomotive. Cependant, il reste improbable de trouver des armes à feux dans cette section du train ! Rendant les combats inégales et meurtriers pour l'arrière. Certains objets, apportés par les passagers au moment de la montée, servent également de base à la confection d'armes en tout genre.. (Dagues, poignards, coutelas ect..) Voici le registre des différentes armes présentes à l'arrière du train.

Armes contondantes
MARTEAUX La constitution des marteaux de l'arrière sont variables. Parfois fabriqué à la base d'autres objets ou issue du wagon machinerie de Wilford. Une masse métallique agit par inertie a sa hauteur, en faisant une arme aux dégâts variables. Au fil des années, de nombreux marteaux purent être dérobé par le cercle ; en faisant une arme très répandue chez les passagers de l'arrière.
MARTEAUX Parmi les nombreux outils dérobés du cercle de Gilliam, la hache y occupe une place de choix. Elle est issue du wagon serre (permettant de couper le bois des arbres pour chauffer l'avant). Constituée d'un manche prolongé d'une tête de métal avec une lame excentrée en demi-lune. La hache offre l'avantage de présenter une masse plus élevée là où se situe son impact, ce qui augmente fortement ses chances d'endommager les armures des miliciens et accroît les dommages qu'elle inflige dans les chairs avec des plaies plus profondes. Malheureusement, son déséquilibre rend son maniement plus complexe et lent. Généralement, ce sont les hommes du cercle qui utilise cette arme.
BARRE DE FER
MASSE
BATTE
Armes à distance
FRONDE Permet de projeter un objet sur une distance variable. A défaut de pierres, les combattants utilisent des boulons et des vis provenant de l'espace stockage. Elle est aussi l'arme la plus en circulation de l'arrière ! (puisque facile à fabriquer) Et la principale arme de défense des enfants. Bien que d'aspect rudimentaire, elle peut se montrer redoutable contre une cible faiblement protégée.
Armes blanches
COUTEAU Les combattants du cercle utilisent généralement de petites lames (la plupart fabriqué à partir des tonneaux d'acier de l'espace de stockage) et réservé à la défense. Les premiers poignards de l'arrière étaient dotés d'une simple lame droite fixée sur un manche de bois par de faible moyens. Les acquisitions de matériaux par le cercle permirent de la rendre plus solide. De manière générale, sa discrétion en fait l'arme privilégiée des défenseurs pour tenter de prendre en otage un milicien et/ou faire cesser une rafle en cours. (Les femmes de l'arrière apprennent leur maniements pour se prémunir des viols).

Dans cette section, les passagers sont directement imputables aux conditions d'hygiène et de malnutrition. Les maladies de l'arrière peuvent prendre la forme de terribles épidémies qui touchent toute la population. Les plaies les plus bénignes sont enduites de protéines bouilli. Elles sont éventuellement recousues à l'aide d'un fil issue d'anciens vêtements. Les membres fracturés sont immobilisés à l'aide d'objets diverses et solide. Des prothèses sont fabriquées pour suppléer au membres perdus pour des raisons pratiques et esthétiques. (On trouve de nombreuses jambes de bois et de mains postiches parmi les passagers !). L'amputation étant la punition de rigueur pour tout manquement aux règles de la milice.. L'usage (rare) de fauteuils-roulants est aussi en vigueur chez les plus âgés. Limitant les effets de la souffrance et facilitant les déplacements. Bon à savoir que l'avant ne s'inquiète jamais du sort des passagers de l'arrière s'ils non pas quelques choses à leur apporter.

Dans cette section, les passagers sont directement imputables aux conditions d'hygiène et de malnutrition. Les maladies de l'arrière peuvent prendre la forme de terribles épidémies qui touchent toute la population. Les plaies les plus bénignes sont enduites de protéines bouilli. Elles sont éventuellement recousues à l'aide d'un fil issue d'anciens vêtements. Les membres fracturés sont immobilisés à l'aide d'objets diverses et solide. Des prothèses sont fabriquées pour suppléer au membres perdus pour des raisons pratiques et esthétiques. (On trouve de nombreuses jambes de bois et de mains postiches parmi les passagers !). L'amputation étant la punition de rigueur pour tout manquement aux règles de la milice.. L'usage (rare) de fauteuils-roulants est aussi en vigueur chez les plus âgés. Limitant les effets de la souffrance et facilitant les déplacements. Bon à savoir que l'avant ne s'inquiète jamais du sort des passagers de l'arrière s'ils non pas quelques choses à leur apporter.